P R E S E N T A

C O N S I D E R A Z I O N I

Sono rimasto inorridito dal paesaggio della Beauce, cara a Péguy e a Marcel Proust

afflitto da una foresta di bianchi pali eolici che giravano con il vento» . .

 

. . . DICHIARO'. . .

Valéry Giscard d’Estaing:

"Guardando dalla finestra del Tgv che  lo portava da Tours a Parigi"

La Beauce, le grenier à blé de la France.

La terre et le ciel, noyés dans un même infini. Des champs de blé à perte de vue. La cathédrale de Chartre dressée comme une sentinelle. Aux portes de Paris, la Beauce demeure immobile, figée dans le temps. Seule la fuite d’un troupeau de chevreuils, la course de quelques perdreaux au milieu des chaumes semblent pouvoir troubler sa quiétude. Pourtant, en un siècle, l’agriculture beauceronne a connu plus de bouleversement que dans tout le millénaire précédent. Et le blé qui pousse aujourd’hui sur ces terres fertiles n’a plus rien de commun avec celui que cultivaient nos arrières grands parents. Le regroupement des parcelles et la mécanisation ont complètement modifié cette région dont les frontières donnent l’impression de vouloir se confondre avec l’horizon, bien que les géographes en aient dressés les limites très précises.

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